Passeports diplomatiques: Benalla assure n’avoir « jamais menti »

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Alexandre Benalla a déclaré lundi devant la commission d’enquête sénatoriale qu’il n’avait « pas menti » le 19 septembre lors de sa première audition devant les sénateurs en déclarant que ses passeports diplomatiques étaient à l’Elysée, reconnaissant dans le même temps avoir commis des « erreurs ».

« Je vous le réaffirme solennellement (…), je ne vous ai pas menti le 19 septembre lorsque je vous ai dit que mes passeports étaient à l’Élysée, et encore une fois, je fais confiance à la justice (…) qui fait émerger un certain nombre de vérités sur des mensonges, des rumeurs, des contrevérités qui ont été développées ici ou là », a déclaré l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron.

Alexandre Benalla, qui a fait plusieurs voyages d’affaires notamment en Afrique après avoir quitté ses fonctions à l’Elysée, a assuré avoir restitué les passeports « à la demande de la présidence de la République et du ministère des Affaires étrangères (?) dans le courant du mois d’août 2018 ». Il a indiqué que ces passeports lui avaient « été rendus à nouveau début octobre 2018 avec un certain nombre d’éléments personnels un chéquier, une paire de clés, etc ».

Benalla dénonce un lynchage contre lui
« Ces passeports n’étaient pas désactivés sinon je n’aurais pas voyagé avec ces passeports », a-t-il ajouté, reconnaissant une « faute, « un manque de discernement », mais estimant que cela ne mérite pas « les proportions que tout ça a pris depuis le début de cette affaire ». Lors de son propos liminaire, après avoir prêté serment, Alexandre Benalla a aussi dénoncé un « lynchage en règle » et reconnu « un certain nombre d’erreurs » dans le cadre d’une « situation professionnelle et personnelle assez troublée ».

« Derrière la carapace, il y a un homme, sa femme, son fils qui avait un an et demi au déclenchement de cette affaire », a-t-il affirmé devant les sénateurs, affirmant qu’il « n’accepte pas le personnage » qui a été construit autour de sa personne, un « personnage qu’on dit sulfureux, diabolique, infréquentable

Alexandre Benalla a déclaré lundi devant la commission d’enquête sénatoriale qu’il n’avait « pas menti » le 19 septembre lors de sa première audition devant les sénateurs en déclarant que ses passeports diplomatiques étaient à l’Elysée, reconnaissant dans le même temps avoir commis des « erreurs ».

« Je vous le réaffirme solennellement (…), je ne vous ai pas menti le 19 septembre lorsque je vous ai dit que mes passeports étaient à l’Élysée, et encore une fois, je fais confiance à la justice (…) qui fait émerger un certain nombre de vérités sur des mensonges, des rumeurs, des contrevérités qui ont été développées ici ou là », a déclaré l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron.

Alexandre Benalla, qui a fait plusieurs voyages d’affaires notamment en Afrique après avoir quitté ses fonctions à l’Elysée, a assuré avoir restitué les passeports « à la demande de la présidence de la République et du ministère des Affaires étrangères (?) dans le courant du mois d’août 2018 ». Il a indiqué que ces passeports lui avaient « été rendus à nouveau début octobre 2018 avec un certain nombre d’éléments personnels un chéquier, une paire de clés, etc ».

Benalla dénonce un lynchage contre lui
« Ces passeports n’étaient pas désactivés sinon je n’aurais pas voyagé avec ces passeports », a-t-il ajouté, reconnaissant une « faute, « un manque de discernement », mais estimant que cela ne mérite pas « les proportions que tout ça a pris depuis le début de cette affaire ». Lors de son propos liminaire, après avoir prêté serment, Alexandre Benalla a aussi dénoncé un « lynchage en règle » et reconnu « un certain nombre d’erreurs » dans le cadre d’une « situation professionnelle et personnelle assez troublée ».

« Derrière la carapace, il y a un homme, sa femme, son fils qui avait un an et demi au déclenchement de cette affaire », a-t-il affirmé devant les sénateurs, affirmant qu’il « n’accepte pas le personnage » qui a été construit autour de sa personne, un « personnage qu’on dit sulfureux, diabolique, infréquentable ».

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