Depuis le 15 septembre 2020 le chanteur international malien Sidiki Diabaté est embourbé dans une histoire de violence physique sur la personne de Mama Sow qui aurait eu une aventure amoureuse avec lui ces dernières années. Depuis que l’histoire a été rendu publique sur les réseaux sociaux : twitter, Facebook, Instagram, les témoignages font bon train. Dès lors une sorte de meute s’est dressée contre l’artiste à travers la création de nouvelles ashtagues comme #Boycottsidikidiabate, #jesuismamasita et autre sur Twitter, histoire est devenu viral pour dire que les twittos font pas de cadeau à l’artiste.
Une situation n’ayant pas laissé l’opinion internationale insensible qu’à quelques jours des nominations du AFRICAN MUZIK MAGAZINE AWARDS & MUSIC FESTIVAL (AFRIMMA) l’artiste fut retiré de la liste. En parallèle des milliers de fans se sont désabonnés de ces différentes pages sur les réseaux et plusieurs défenseurs des droits des femmes comme HERA FOUNDATION se sont réuni lundi pour mettre en place des activités de grandes envergures afin de clamer la justice pour Mama sow.
Selon un rapport de l’ONU FEMMES sorti en 2019, 35 % des femmes dans le monde subissent des violences physiques ou sexuelles de la part d’un partenaire intime ou des violences sexuelles de part de la part d’une autre personne à un moment donné de leurs vies. Des chiffres alarmants qui devraient attirer l’attention du monde afin de raffermir les lois qui protègent les femmes.
