L’ancien président de l’Assemblée nationale affirme qu’il « ne reconnaît plus Alassane Ouattara comme président de la République ». Depuis la France où il vit désormais, il avait menacé de saboter la tenue du scrutin présidentielle de ce samedi 31 octobre dont les dépouillements sont d’ailleurs en cours.
Guillaume Soro, qui a vu sa candidature à la présidentielle invalidée en raison de sa condamnation à 20 ans de prison pour recel de détournement de deniers publics et blanchiment de capitaux, ajoute : « Nous n’avons aucune autre option que celle d’œuvrer au départ d’Alassane Ouattara du pouvoir. »