Avant de tuer ses enfants et de se donner la mort, il a laissé dans son bureau une lettre destinée à la présidente du tribunal. Son ex-femme, qui avait quitté le domicile conjugal à plusieurs reprises, lui avait proposé, avant de saisir le tribunal, un divorce par consentement mutuel qu’il avait refusé.
Des accusations de rapport sexuel forcé et de violences sur son épouse et ses enfants qu’il niait au cœur de la procédure de divorce. Dans son testament, il indique céder tous ses biens à la femme qu’il a épousé en mai 2021 et dont il protège soigneusement l’identité.
« Je suis sûr qu’elle n’a pas vu venir celle-là », une lettre qu’il a laissé et d’autres épluchées par les enquêtes fait savoir Libération.