« En mars 2016, Macky Sall a imposé son référendum. En 2018, il a modifié unilatéralement, à quelque encablures de la présidentielle et sans l’avis de l’opposition, la carte et la loi électorales. Des modifications taillées sur mesure pour sa réélection. Autant dire que le président de la République est en train de jouer, avec son appel au dialogue, au médecin après la mort », analyse, dans sa parution de ce mercredi 6 mars, le journal Walf Quotidien.