« Parfois l’envie me prend de commettre un viol. Je ne comprends vraiment pas comment je peux me mettre tout le temps dans une situation pareille. À mon âge, je devais bâtir mon avenir et fonder une famille. Mais voilà, c’est toujours pareil. Ce sont des actes que je ne souhaite pas », a lâché Issakha Sarr lors des débats d’audience.
Détenu de confiance, il a profité de ses moments de liberté, rapporte L’Observateur, de l’innocence de R.D pour abuser d’elle. Pourtant, il ne lui restait que 13 mois pour être élargi de prison. Devant le tribunal, Sarr nie avoir eu des relations sexuelles avec la plaignante : « J’ai tenté mais je n’ai pas réussi à passer à l’acte ».
Toutefois, renchérit le journal, la constance des déclarations de la victime et le certificat médical servi dans le dossier attestent du contraire. Reconnu coupable, il a été condamné à 5 ans de prison pour viol. Les faits se sont passés à Ndiébène Gandiol.