Le biologiste et secrétaire exécutif de SOS Environnement est ferme dans ses propos. Dans un message adressé aux populations sénégalaises et parcouru par Seneweb, Abdourahmane Tamba, lauréat du Prix de la recherche scientifique en faveur du secteur privé productif décerné par le réseau mondial Vétiver a demandé aux sénégalais de « s’opposer catégoriquement à toute initiative de vaccination de la population dont l’efficacité n’a pas été prouvée ailleurs qu’en Afrique.
Voici l’intégralité de son message :
« Je voudrais à titre personnel et au nom de l’ONG SOS Environnement demander aux sénégalais de s’opposer catégoriquement à toute initiative de vaccination de la population. Il faut refuser toute vaccination ou tout remède dont l’efficacité n’a pas été prouvée ailleurs qu’en Afrique. Ça devient suspect les origines de ce virus et plus suspect encore cette idée de vaccin sans le moindre essai clinique. Chaque année plus de 200 millions d’africains sont malades du paludisme et chaque année c’est plus de 400000 africains qui en meurent essentiellement des enfants. POURQUOI cette médiatisation pour une affection et de l’indifférence pour une autre ? À quoi on nous prépare ? La grippe saisonnière due au virus A (H1N1) fait entre 300000 et 500000 morts chaque année dans le monde et rien qu’en France en 2018/ 2019 elle y a provoqué près de 10000 morts Le covid 19 en est à 24000 décès dans le monde et à 1600 décès en France. Comparé à A (H1N1) Covid 19 ne fait pas le poids. Alors à quoi tiennent tous ces cris de détresses et ces alertes à l’apocalypse ? Encore une fois à quoi veut-on préparer l’opinion et les consciences surtout celles des africains ? Je n’ai pas de doute sur la réalité du Covid19 mais j’ai des questions sur le sujet, son origine et sa prédestination. Oui PRÉDESTINATION car tout se passe comme si le coronavirus avait une mission que connaissent ceux qui connaissent son origine et qui comme L’OMS _*prédisent que pour l’Afrique le pire est à prévoir*__
Revisitons cette Afrique et les épidémies qui lui sont propres.
251 millions de malades du paludisme en 2010 et 238 millions de malades en 2018 dont 93% en Afrique sub saharienne.
Fièvre à virus Ebola plus de 30000 cas et plus de 11000 décès en 2013
Fièvre jaune entre 800 000 et 1,5 millions de cas avec près de 50000 décès en 2018
Le Sida 37 Millions de séropositifs (dont plus de 7 millions en AFS, plus de 3 millions au Nigeria les deux géants de l’Afrique au sud du Sahara) et 1 million de morts en 2018.
Alors, dites moi pourquoi provoquer tant de panique pour le Covid-19 ?
En observant la distribution de ce coronavirus on s’aperçoit que les pays africains au sud du Sahara qui sont confrontés aux deux épidémies que sont le paludisme et la fièvre jaune sont moins enclins à développer la fièvre à coronavirus et à en mourir exemple de l’AFS 927 cas 2 morts Nigeria 65 cas 2 morts Sénégal 105 cas aucun mort etc.
Au vu de ces résultats, on peut légitimement penser :
– que le coronavirus n’est pas si dangereux qu’on veut le faire croire pour les africains au sud du Sahara
– que ces africains ont des endémies beaucoup plus sévères qui occasionnent plus de morts et auxquelles ils doivent accorder plus d’attention
– que les africains du Nord dont les pays ne connaissent ni malaria ni fièvre jaune semblent plus sensibles au coronavirus. À titre d’exemple les 4 pays que sont l’Égypte la Tunisie l’Algérie et le Maroc comptent 3 fois plus de morts que tous les pays de l’Afrique sub saharienne réunis de la Mauritanie au Cap en Afrique du Sud
– que la confrontation de ces africains avec le plasmodium et le virus de la fièvre jaune qui leur sont « familiers » semble les armer contre le coronavirus.
– que ce n’est pas la chloroquine qui serait la cause de cette réaction puisque ce remède a cessé d’être prescrit aux africains depuis près de deux décennies.
Il est cependant possible que la chloroquine soit indiquée pour traiter la fièvre à virus Covid19… Nous allons l’admettre sans aucune preuve scientifiquement valable et comme un pari cornélien
Il est fort probable que ce soit dans le sang des africains qu’il faille rechercher la cause de cette réaction. En effet il est scientifiquement établi que tout corps qui pénètre dans un organisme entraîne de la part de celui-ci une réaction de défense par la production d’anti « corps ». Ces anticorps qui font partie du système de défense immunitaire peuvent exister physiquement au moment de l’agression du corps étranger ou disparaître en persistant de manière rémanente dans la mémoire du milieu hydrique. La mémoire de « l’eau intérieure » pourrait donc être le siège de la résistance au Covid19 dans l’organisme des africains.
Cette réaction n’a rien à voir avec la race. Le milieu intérieur d’un noir n’ayant jamais vécu dans cette partie de l’Afrique n’aura pas cette potentialité.
Il faut donc que les africains fassent bien attention à ne surtout pas accepter de vaccins car au regard des données objectives sur la pandémie il serait plus logique que ces vaccins, s’ils existent, soient d’abord testés sur les populations asiatiques et européennes.
Il faudrait en outre qu’ils se gardent, de prendre sans attendre d’en voir les résultats chez les asiatiques et les européens, les remèdes chimiques qu’on leur proposerait.
Il n’y pas lieu de s’alarmer outre mesure car malgré le désordre qui existe chez nous, malgré la convivialité malgré la promiscuité, la maladie n’atteint pas les proportions qu’elle a dans les pays du Nord plus respectueux des règles d’hygiène et de salubrité publiques, plus individualistes plus distants dans les relations humaines.
Il se passe des choses louches concernant ce coronavirus
*Et si les enjeux étaient le contrôle du peuplement et des richesses de notre planète en marge de notre volonté et de notre conscience ?*
Le africains gagneraient à trouver en eux-mêmes les solutions à leurs maux. Cheikh Anta Diop disait que la connaissance part de la connaissance de soi. Et la pharmacopée traditionnelle africaine nous offre trois plantes ayant des propriétés avérées sur les fièvres virales. Surtout combinées et je les cite
Reenu bakhis Tinospora bakis
Manta maare Acacia occidentale du Sénégal à la Côte d’Ivoire
La papaye connu de la pharmacopée sénégalaise malienne et ivoirienne
Garabu doctor Vernonia colorata Kô Safneh ou savon des rivières
Argemone mexicana souma foura en Bambara (remède de la fièvre) sont autant de legs de nos maîtres traditionnels en Afrique de l’Ouest.
Mais tant que nous serons des taupes sur nos valeurs et des lynx sur les valeurs des autres peuples nous attendrons, après des siècles d’esclavage et de suivisme veule, qu’on nous élimine de la surface de la terre avec un virus »