Si ça ne dépendait que des auteurs de l' »Étude sur le système de rémunération au sein de l’administration sénégalaise » du Cabinet Mgp-Afrique dirigé par Mohamed Sall Sao, les présidents de conseil d’administration et de surveillance ne seraient plus, rapporte Le Témoin, des salariés.
« C’est le principe même de leur rémunération qui devrait être questionné, dans la mesure où il ne saurait s’agir de cogestion de leur part, des jetons de présence ou indemnités de session ponctuels devant leur être attribués à l’instar des autres membres de ces conseils », lit-on dans ladite Étude.