Affaire du vieux de 70 ans mort à Yeumbeul: Son épouse ne s’est pas agrippée à ses parties intimes, mais…

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En effet, la dame accusée d’avoir tué son mari en s’agrippant à ses bijoux de famille, a livré sa version des faits sur procès-verbal, relate Seneweb.

Entendue par les enquêteurs du commissariat de Yeumbeul, la mise en cause est revenue sur les circonstances du décès de son époux. Le septuagénaire à la retraite, dit-elle, avait l’habitude de boire du thé et de griller une cigarette avant de se coucher.

 » Les confidences de la ñarel incriminée »

« J’avais déjà préparé du thé pour lui. Contre toute attente, mon mari fait savoir qu’il ne veut pas le boire. Mais quand je lui ai répondu que je vais boire le thé dans ce cas, il m’a donné une gifle », confesse la ñarel (deuxième épouse du défunt).

Poursuivant son récit sur procès-verbal, elle dit : « Mon époux m’a attaquée et je l’ai mordu à la poitrine pour sortir de son emprise. Ainsi, je suis parvenue à m’échapper pour alerter les occupants de notre domicile. Mais il respirait difficilement par la suite. Évacué à l’hôpital, A. N. a finalement rendu l’âme. »

« Elle ne s’est pas agrippée aux parties intimes de son mari »

Toutefois, la mise en cause précisera qu’elle filait le parfait amour avec son époux. Et qu’ils n’ont jamais eu de problèmes. Après avoir vivement regretté la mort de son mari, elle a évoqué la volonté divine pour justifier la tournure des événements.

Cependant, contrairement à la rumeur, l’enquête de police a révélé que la femme ne s’est pas agrippée aux bijoux de famille de son mari, lors de leur bagarre.

En effet, le médecin-légiste a seulement constaté des morsures sur la poitrine du défunt.

« Ce que révèle l’autopsie »

Dans le cadre de l’enquête, les hommes du commissaire Sall ont sollicité sur réquisition, les services d’un médecin-légiste pour connaitre les circonstances du décès du septuagénaire A. N.

Selon des informations de Seneweb, l’autopsie évoque « une mort par insuffisance respiratoire, sur un corps avec des blessures superficielles’’.

« La mise en cause envoyée en prison »

Déférée ce mercredi 15 décembre au Tribunal de Grande Instance de Pikine-Guédiawaye, pour coups mortels, la dame âgée de 30 ans a été placée sous mandat de dépôt. Mais l’affaire n’a pas atterri en instruction.
Leral

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