L’accusation contre Aziz Ndiaye dans l’affaire «Huile J’adore» semble s’écrouler comme un château de cartes. Selon Libération, la chambre d’accusation a ordonné la restitution de tous les scellés, notamment tous ses magasins de vente ou de production d’huile qui avaient été saisis après son arrestation. Une décision qui annonce, selon le journal, un non-lieu pour l’homme d’affaires.
Pour rappel, l’ancien promoteur de lutte avait été arrêté par la gendarmerie pour les délits de «présomptions d’association de malfaiteurs et tromperie sur la nature et l’origine d’un produit alimentaire». Soupçonné d’avoir substitué frauduleusement les étiquettes de deux marques d’huile, «Elita» et «J’adore», il a bénéficié d’une liberté provisoire.