Affaire Miss Sénégal: Gabrielle Kane à la « Diary Sow », insulte les détracteurs de Amina Badiane

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C’est avec des insultes que Leral ne reproduira pas, qu’elle a débuté son post sur Facebook, descendant à tout-va, celles qui ont osé s’attaquer à Amina Badiane, avec une boutade à la fin de son texte, à la Diary Sow.

« Bande d’hypocrites ! Bande de lâches ! Amina Badiane, c’est donc la cible ? Allez porter plainte contre Iran Ndao et autres imams qui ont dit pire. Allez faire votre marche à l’Assemblée nationale. Allez vous-en prendre à la maquerelle de Sweet beauté. Et les autres ? « , s’est-elle interrogée, d’emblée.

Attaquée depuis jeudi sur les réseaux sociaux et accusée d’avoir médit sur la journaliste Houlèye Thiam Preira, elle a décidé de sortir ses griffes. « Entre celles qui veulent dérouler « Miss Jongoma » et celles qui veulent mettre « Miss Entrepreneure » à la place de Miss Sénégal, vous êtes juste malhonnêtes les filles. Apologie du viol, mon œil, oui ! Bien qu’elle ait été décevante dans sa réaction, descendre Amina Badiane en prônant les plaintes à son encontre, aiderait vos projets à remplacer le sien », écrit Gabrielle Kane.

Elle estime que certains se sont « engagés pour la cause des femmes vous permettant de donner des leçons au nom du « on était la avant Gabrielle » ».

Loin de s’en arrêter là, la jeune dame s’est lancée dans un déballage. « Pour les autres, entre celles qui me doivent du fric (évidement qu’elles ont pas de tafff et circulent à quémander), celles qui déboulent chez moi pour se servir dans mon dressing ou même celles qui viennent me montrer les conversations des féministes du groupes à mon encontre, je vais pour l’instant me taire », révèle-t-elle.

Elle ajoute: « si vous aviez été au rdv de Adji Sarr, je ne serai jamais là à me mêler si activement de certains combats. Parfois, il est plus facile d’avancer que de reculer, quand on a pris une posture publiquement. Alors je vais avancer, d’abord parce que je le veux, mais aussi parce que je le peux. Ne vous en déplaise ».

« Comme à dit une sœur il y a pas longtemps, « JE VOUS…  » », conclut Gabrielle Kane.

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