Il ne serait pas exclu que la question de l’Adn soit soulevée dans l’enquête mettant en cause le leader de Pastef /Les Patriotes accusé de viols et de menaces de mort par une masseuse nommée Adji Sarr.
Si réellement viols il y a,on ne peut écarter la thèse de l’Adn qui est la principale technique médico-légale qui permet d’établir la véracité des viols dont on parle dans cette affaire.
Seulement, on ne peut l’inventer ou alors l’emprunter au profit d’une autre personne. Scientifiquement, personne au monde ne peut tromper la vigilance des techniciens de crime au point de leur fournir de l’Adn ne correspondant pas à celui du mis en cause .
Du coup, dans l’affaire Sonko, Adji Sarr est fermement attendue sur cette question si tant qu’elle a subi une visite médicale auprès d’un gynécologue. De toute évidence, cette affaire va scientifiquement s’éclairer d’un jour nouveau à la face du monde.
Toutes les traces biologiques sont des sources potentielles d’ADN mais avec des chances de réussite très variables. Seulement dans ce cas d’espèce, l’Adn du mise en cause sera écartée car il ya eu contact entre la masseuse et le client au cours du traitement de massage.
Mais ce qui importe,c’est les résultats des tests gynécologiques prélevés sur la dame accusatrice. Et c’est de là que tout le monde attend Adji Sarr qui persiste et signe qu’elle a été violée de façon répétitive.
Assane SEYE-Senegal7