La communauté de la presse est mobilisée, ce matin, devant la police où sont détenus les quatre confrères arrêtés depuis 48h. Parmi eux, deux directeurs d’organes dont les radios sont également fermées.
Pour rappel, ils ont été alpagués en marge des heurts qui ont émaillé la capitale gambienne, avant-hier dimanche, 26 janvier 2020. Les autorités leur reproche de traitement “partiel“ des évènements.
On attend d’un moment à l’autre leur remise en liberté provisoire faute de quoi le syndicat des journalistes menace d’entrer en grève de la faim.