Le coordonnateur du forum civile, Ibrahim Seck demande à ne pas se servir de la crise militaire de la Casamance pour s’attaquer à des adversaires politiques.
« Le conflit en Casamance ne saurait être un terrain de jeu pour des préoccupations bassement politiciennes », a dit Birahim.
« Le gouvernement et ses soutiens doivent faire très attention avec l’utilisation du terme « rebelle » dans une communication purement politicienne »