Pour l’année 2019, la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) a transmis au parquet une douzaine de dossiers.
Des cas relatifs à des soupçons de blanchiment de capitaux à l’issue de 56 rapports d’enquête sur un total de 110 déclarations de soupçons.
Selon Libération, 45 dossiers ont été classés sans suite en raison de l’absence de preuves de blanchiment ou de financement de terrorisme.
Le modus operandi des auteurs présumés consiste au piratage et la fraude informatique. Les banques sont à l’origine de 79% des déclarations de soupçons reçues en 2019.