Absent de l’Assemblée nationale depuis presque un an, aphone sur les questions brûlantes de l’heure et recalé lors de la présidentielle, Pape Diop brille aussi par le temps qu’il est resté sans convoquer une seule instance de son parti dénommé Convergence libérale et démocratique (Cld/Bokk Gis-Gis).
La situation est telle que, rapporte Source A qui a taillé bavette avec certains responsables de la formation politique de l’ancien baron sous le défunt régime (président de l’Assemblée nationale et du Sénat, maire de Dakar…), les départs se multiplient à une vitesse vertigineuse. Surtout qu’il rechigne à dégainer.