Les 43 personnes mises en cause dans l’affaire des centres de redressement de Kara-Sécurité ont été placées, hier, sous mandat de dépôt.
Selon L’Observateur, ils sont poursuivis pour les présumés délits de maltraitance, de séquestration, de trafic de drogue entre autres.
Des infractions qui pourraient les retenir en prison le restant de leur vie, informe le journal dans sa livraison du jour. Autrement dit, ils risquent la prison à perpétuité.
En effet, l’article 335 du Code pénal dispose que si la détention ou la séquestration des personnes quelconques atteint 30 jours, la peine sera celle des travaux forcés à perpétuité.