Le statut du chef de l’opposition divise la classe politique. La Commission politique du Dialogue national a refilé la patate chaude au chef de l’État qui doit trancher.
Mais, rappelle le journal Le Quotidien dans sa livraison de ce samedi, Macky Sall avait déjà donné sa position sur le sujet.
Dans un entretien accordé au site azactu.net en octobre 2016, le président de la République avait voté pour le candidat arrivé second à l’issue d’une élection présidentielle.
«Moi, je n’ai pas de préférence particulière. Mais, il me semble qu’il aurait été plus logique que le candidat arrivé second, qui a rassemblé le plus grand nombre de voix par rapport aux autres, puisse incarner l’opposition», avait déclaré Macky Sall.