Dans sa lettre-plainte adressée à la Division des investigations criminelles (Dic), dont le journal a obtenu copie, Moumy Kébé accuse Gadiaga de la traiter de « lesbienne et gouine à la solde de forces obscurantistes tapies dans l’ombre ».
Après chaque parution des articles dans son site, Cheikh Gadiaga envoyait des émissaires à la dame pour solliciter ses faveurs sonnantes et trébuchantes sous peine de poursuite des harcèlements.