La nurse Adja Seynabou Diallo, le pédiatre Hussein Joubaily et l’infirmière, ont été sauvés des affres de la prison. Placés sous mandat de dépôt pour négligence, homicide involontaire et complicité, ils ont bénéficié d’une mise en liberté provisoire depuis vendredi dernier.
Les inculpés ont été sauvés par les résultats de l’autopsie du laboratoire, qui a révélé dans ses conclusions « une suspicion d’épidermolyse bulleuse ». Une maladie génétique qui entraîne une perte de la peau.
Ce qui écarte la thèse d’une brûlure ou d’incendie comme révélé par l’autopsie de l’hôpital Aristide Le Dantec.
La maladie de la peau dont souffrait l’enfant, relève-t-on, est une anomalie génétique.