La chloroquine occupe désormais le centre du débat en ce qui concerne le traitement des malades du Covid-19. De son côté, le Sénégal dispose d’une usine fermée le 15 janvier dernier. Mais si l’on en croit les derniers développements, l’unité pourrait reprendre sa production.
Cette usine fabriquait 2 millions de comprimés et 20 000 flacons de liquides buvables au quotidien. Et au moment où le débat sur la chloroquine est plus que jamais d’actualité, les travailleurs de cette usine qui sont en chômage technique souhaitent que les autorités se penchent sur leur sort.
« Nous avions saisis l’inspection du travail mais malheureusement nous n’avions pas eu de résultats. Par la suite, nous avions pu rencontrer le ministre de la Santé qui nous a mis en rapport avec ses collaborateurs. Nous avions eu à faire des réunions mais depuis cette pandémie, nous ne les voyons plus », renseigne un agent de Médis.
C’est le chômage technique pour près de 300 agents. Une aubaine pour faire face à cette pandémie si l’activité devait redémarrer.
