Le premier jour de couvre-feu a été pénible pour certains Dakarois. Selon L’AS, certains d’entre eux ont eu, hier, toutes les peines du monde pour rallier leurs domiciles à la descente. Ce, à cause d’un manque de moyens de transport et des embouteillages.
En effet, ils étaient nombreux des habitants de Pikine, Guédiawaye ou même de Rufisque à marcher pour rentrer avant l’heure du couvre-feu. C’est dire que les horaires de travail et de descente doivent forcément être revus par les autorités.