Saer Kébé a écopé de trois mois assujettis de sursis pour le crime de menace. Le juge estime que les faits d’apologie et d’acte de terrorisme ne sont pas établis. Il risquait cinq ans de travaux forcés.
Selon le Juge, Saer n’a pas posé d’acte terroriste, mais il s’agit d’une simple menace, précisant qu’il n’avait pas d’ordre derrière.” Les dépens sont à la charge de l’étudiant qui a un délai de 15 jours pour payer”, a précisé le Juge.