L’État ne lâche pas l’affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr.
Des notes techniques de la Délégation générale au renseignement nationale (DGRN) transmises à la présidence de la République affirment que « les manifestations qui ont suivi l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko en mars ont été largement amplifiées par une armada de 9 000 comptes Twitter probablement coordonnés ».
D’après L’Observateur, ces milliers de comptes Twitter ont accompagné et, parfois, précédé la mobilisation des manifestants sous le hashtag #FreeSenegal.