Selon le texte de l’allocution qu’Emmanuel Macron devait prononcer lundi 15 avril, et qui a fuité dans la presse le lendemain, le président se disait notamment favorable à la suppression de l’ENA (l’École nationale d’administration). Depuis des années, la prestigieuse école, formant les cadres de l’administration française, est critiquée pour son élitisme. Le point sur cette école contestée.