Kaolack : Journée mondiale du souvenir des victimes de la route , les cavaliers de la sécurité routière interpellent les autorités.

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Ce dimanche 21 novembre, est célébré la journée mondiale du souvenir des victimes de la circulation routière, décrétée par les Nations Unies. L’occasion de parler de ce fléau mondial et des moyens pour l’endiguer.

A Kaolack, l’association des cavaliers de sécurité routière l’a organisé pour porter le plaidoyer aux autorités Étatiques et locales .
 » Des accidents provoqués, en grande majorité, par l’alcool, la drogue et la somnolence
Les facteurs comportementaux principaux sont l’alcool, la drogue et la fatigue. L’alcool reste encore responsable de plus de 50% des accidents mortels.  » Cette journée est pour nous de diagnostiquer véritablement les causes des accidents de la route . Nous avons plaidé à ce que l’État du Sénégal prend compte la question de la sécurité routière une priorité ; nous en tant que cavaliers de la sécurité routière du Sénégal qui a pour objectif de sensibiliser, communiquer pour un changement de comportement sur la route, nous appelons la responsabilité de tout un chacun face à ce phénomène qui est souvent dû souvent par le non respect du code de la route c’est pourquoi nous demandons aux usagers de la route à respecter le code de la route pour amoindrir les accidents. L’utilisation de l’alcool , du téléphone au volant, » a rappelé, le coordonnateur de l’association des cavaliers de la sécurité routière du Sénégal,Cheikh Tidiane Sarr. Si toute ces actions sont respectées nous pensons que le pays va connaître une réduction par rapport à la hausse de nombre de cas d’accidents. En définitive, nous invitons l’État de construire de bonnes routes , créer les voies de contournement pour les collectivités territoriales nous leur demandons de s’investir dans la sécurité routière . Nous ne pouvons pas comprendre une maire qui met en place une commission de transport dans sa composante et en retour elle nous dit que ce secteur n’est pas une compétence transférée selon certains maire. C’est vraiment contradictoire. Nous disons que la sécurité routière peut être source de revenus économique et de création d’emplois au niveau de la commune. La mise en place des fourrières municipales pour les motos taxi et autres véhicules car ces engins n’ont pas de place au niveau des commissaires de police , création des aires de repos
Nous pensons qu’une fois ces programmes sont réalisés les accidents de la circulation vont connaître pour nous de vieux souvenirs, a plaidé Cheikh Tidiane Sarr.

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