“Une telle demande ne saurait être satisfaite à l’état actuel du processus électoral, au risque de créer une rupture de l’égalité des citoyens devant la loi”.
C’est la réponse du ministre de l’intérieur pour donner suite à la requête de Ousmane Sonko qui avait déclaré lors de sa dernière conférence de presse avoir demandé par écrit au ministre de l’intérieur d’assurer sa sécurité.
Faisant la comparaison avec l’actuel président de la république en tant que candidat à la présidentielle de 2012, avait demandé et obtenu la mise à disposition par l’État d’une sécurité rapprochée, Aly Ngouille Ndiaye rappelle, implicitement, à son interlocuteur que sa candidature n’est pas encore validée