Étudiants dans un institut de la place, D. D. P. Anzepelo et E. C. Lopez entretenaient une relation amoureuse. Cependant, la jalousie maladive d’Anzepelo a poussé la jeune fille à mettre fin à l’idylle.
Mais le jeune garçon n’arrivait pas à gober la séparation. Ainsi, il a tout fait pour
avoir des images compromettantes de son ex, pour lui faire du chantage sexuel. Chaque fois que cela lui plaisait, il invitait la jeune fille à une partie de jambes en l’air, au risque de divulguer ses images, rapporte «le Soleil» dans son édition du jour.
Mais ne supportant plus d’être transformée en objet sexuel, elle a décidé de porter l’affaire devant la justice. À la barre, elle soutient que ses photos obscènes ont été envoyées ses parents parce que tout simplement, le mis en cause crie partout qu’elle l’a trompé, alors que ce n’est pas vrai.
Entendu à son tour, le prévenu a soutenu avoir agi de la sorte pour l’intimider.
Selon toujours «le Soleil», le parquet lui a, enfin, notifié qu’il n’a pas le droit de contraindre la partie civile à des relations sexuelles pour qu’elle reste avec lui.
Invitée à formuler sa demande, E. C. Lopez a déclaré qu’elle ne réclame pas de dommages, mais veut juste en finir avec cette affaire. Quant à D. D. P. Anzepelo, il a été reconnu coupable et condamné à deux ans ferme pour collecte illicite de données et détention d’images contraires aux bonnes mœurs en vue d’une distribution.