L’Ong Jamra dénonce l’acharnement sur le candidat Bougane Gueye.

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Qui s’acharne avec autant de hargne contre le leader du mouvement citoyen «Guëm sa Bopp» et non moins candidat à la Présidentielle de 2019, Bougane Guèye Dany ?Après l’avoir « soupçonné » de fricoter avec d’obscurs lobbies, promoteurs d’unions contre-nature, en passant par une incursion infâme dans sa vie (privée) matrimoniale, « ils » ont, dès le 20 août dernier, fait monter leurs lugubres enchères en accréditant, depuis des officines politiques clandestines, via un média en ligne, une énorme « délation » de sa supposé appartenance au « Grand Orient de France », la loge maçonnique la plus islamophobe et la plus anticléricale que l’Europe n’ai jamais connue !

Si nous avions une once de suspicion que Bougane avait monté son groupe de presse pour servir de tremplin à ces lobbies, qui ont supprimé de leurs textes fondateurs toute référence à Dieu et à l’immortalité de l’âme pour, en lieu et place, prôner une « liberté de conscience absolue« , qui prétend affranchir l’homme de tout dogme religieux, nous aurions volontiers été de ses pourfendeurs les plus radicaux!En 1985, dans leur volonté de distiller dans les esprits juvéniles les fondements idéologiques de leurs obédiences obscures, aux antipodes des convictions religieuses de la majorité des croyants de notre pays, ils durent essuyer un échec cuisant, face à la détermination de JAMRA et de son défunt fondateur, Abdou Latif Guèye, dont le procès qu’ils lui intentèrent tourna en sa faveur, avec les soutiens actifs (zaïr ak baatine) des honorables Khalifes généraux, Baye Seydi Thiaw Laye (Yoff Layéne), Serigne Abdou Lahad Mbacké (Touba) et Mame Abdou Aziz Sy Dabakh (Tivaouane) – dont l’audio de la sévère mise-en-garde qu’il adressa à cette occasion aux loges maçonniques, continue d’être largement partagées dans les réseaux sociaux.

Loin de baisser la garde, ces «adorateurs du Grand Architecte de l’Univers» sont revenus à la charge, en janvier 2018, sous un label humaniste enchanteur, qui se révèle être un projet de prosélytisme athéiste et libertin, porté par 600 congressistes maçonniques, parrainés par le Grand Orient de France.Tout en réaffirmant leur attachement à la liberté d’expression et d’association consacrées par notre charte fondamentale, trente-trois organisations religieuses et de la Société civile, regroupées dans la «Coalition Non à la Franc-maçonnerie», s’insurgèrent légitimement contre ces «Croisés» des temps modernes, qui cachent difficilement leur volonté de bâtir une société sans Dieu. Et qui avaient failli transformer notre pays, les 2 et 3 février dernier, en sanctuaire de propagande de leurs thèses négationnistes de l’existence de Dieu et de l’immortalité de l’âme. Lesquelles ne sauraient nullement se substituer au noble héritage spirituel légué par Bamba, Maodo, Baye Niasse, Baye Laye, et tant d’autres grandes figures de l’Islam qui reposent en terre sénégalaise.

L’offensive énergique menée par cette large coalition fit à nouveau échec à la tenue de ces assises occultes. Et nous devons à la vérité de témoigner que le groupe de presse Dmedia de Bougane Guèye Dany, tous supports confondus (journal, télé, radio), avait largement couvert ce long bras-de-fer, auquel assistaient l’opinion croyante sénégalaise indignée, parce qu’agressée dans ce qu’elle a de plus cher : sa Foi.Et ceux qui ont failli transformer notre pays en plate-forme de propagande de leurs thèses obscures, durent battre en retraite vers Pointe-Noire, au Congo, où, avec la bénédiction de leur «frère-chef-d’Etat», il leur sera loisible d’élargir les rangs de leur Ordre occulte. Leur parrain occidental, le Grand-Orient de France, digérant mal d’avoir été déclaré «indésirable» en terre sénégalaise, en fut lamentablement réduit à se fendre, le 28 janvier dernier, d’une déclaration incendiaire et paternaliste, y traitant ladite coalition de regroupement de «forces obscurantistes».Inversant ainsi les rôles en feignant d’ignorer qu’il n’y avait pas plus nébuleux et plus opaque qu’une secte maçonnique, au point d’être assimilée, dans l’imagerie populaire, à la Mafia sicilienne ou à la Camora napolitaine !

Au demeurant, l’opportunité nous fut offerte de réaffirmer ce droit fondamental de défendre farouchement le noble héritage que nous ont généreusement légué nos honorables icônes religieuses, dans une interview parue dans la dernière livraison de «Jeune-Afrique» (numéro 3007 du 26/08/2018), sous la plume du rédacteur en chef de son site web, Mehdi Bâ.Le RDS dénonce fermement ces manœuvres malsaines et anti-démocratiques, ciblant le leader de «Guëm Sa Bopp», qui constituent une entorse grave aux principes et valeurs qui fondent la République, que nous avons tous la prétention d’incarner et de défendre. Au terme de notre Charte fondamentale, chaque citoyen, jouissant de ses prérogatives civiques, a le droit le plus absolu de briguer les suffrages de ses concitoyens, à l’occasion de n’importe quelle joute électorale

 

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