Selon le président Ansoumana Dione, maintenant, il appartient à la justice de sévir, pour le respect de leurs droits, au même titre que tous les Sénégalais, pour la protection contre cette pandémie. En matière de prévention et d’accès aux soins, les citoyens sont d’égale dignité, conformément à notre Constitution.
«Alors, il appartient au procureur de la République d’assumer ses responsabilités, pour que les malades mentaux errants, jusqu’ici exclus de toutes nos politiques de développement économique et social, soient rétablis dans leurs droits, par rapport à cette vaccination», dit-il, sur seneweb.
Sinon, avertit le défenseur des malades mentaux errants, l’Assamm trouvera d’autres moyens, conventionnels, pour atteindre leur objectif