Il est l’un des principaux symboles du dialogue islamo-chrétien. Mais, cette année le traditionnel Ngalakh ne sera pas servi. » En effet, suite aux multiples restrictions recommandées pour nos Evêques relatives à la célébration des fêtes de Pâques, le Conseil du Laïcat préconise, pour cette année, de sursoir au traditionnel Ngalakh », peut-on lire dans le communique du Conseil national du Laïcat Sénégal reçu. Voici le document.