MORTALITE, VIH, CONTRACEPTION EN CHIFFRES

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L’Agence nationale de statistique et de la démographie (ANSD) a publié hier, jeudi 27 septembre les résultats de l’Enquête démographique et de santé continue de 2017. Ces résultats révèlent que le rapport de mortalité maternelle au Sénégal est de 273 décès pour 100 mille naissances vivantes, la prévalence du Vih est de 0,5% et la pratique contraceptive et l’utilisation des méthodes modernes est passée de 16% en 2010-2011 à 26% en 2007. La proportion de ménages ayant bénéficié d’une bourse de sécurité familiale en 2017 est de 14%.

Le rapport de mortalité maternelle au Sénégal est de 273 décès pour 100.000 naissances vivantes pour le rapport de mortalité maternelle au Sénégal. La prévalence du Vih est de 2,5% contre 0,7% en 2010-2011. La pratique contraceptive, l’utilisation des méthodes modernes est passée de 16% en 2010-2011 à 26% en 2017.

La proportion de ménages ayant bénéficié d’une bourse de sécurité familiale en 207 est de 14%. Tels chiffres sont les résultats de l’Enquête continue de 2017 rendue publique hier, jeudi 27 septembre par l’Agence nationale de statistique et de la démographie (Ansd). Cette enquête commencée en 2012-2013 devra permettre de «répondre aux besoins permanents en données pour planifier, suivre et évaluer les programmes de santé et de population et pour renforcer des capacités des institutions du Sénégal dans le domaine de la collecte et de l’utilisation de ces données».

En effet, le chiffre du rapport de la mortalité maternelle au Sénégal démontre «une diminution significative au cours des dix dernières années (401 décès pour 100.000 naissances vivantes selon l’Enquête de santé continue de 2005) ». Quant au taux de la prévalence du Vih, elle est restée selon, l’enquête, «quasi-stable depuis 2010-2011 ». L’enquête de santé continue comprend ainsi deux volets dont le volet ménage et le volet structure de santé. « Le fait d’avoir les deux volets de l’enquête continue fournit au Sénégal l’opportunité de comparer les données de populations avec des données des structures de santé», lit-on dans le document.

Et d’ajouter que «par rapport à la santé maternelle, on peut voir que trois quarts de toutes les structures de santé au Sénégal offrent des services d’accouchement normal et parmi ces structures, 63% ont un transport d’urgence et 98% ont du matériel pour la délivrance et quant au Vih, 76% des structures ont un système de test de dépistatage de Vih et seulement 8% des structures offrent des services de thérapie antirétrovirale ».

En effet, pour cette cinquième phase, la taille de l’échantillon a été doublée par rapport aux phases précédentes de l’enquête continue. A noter que l’enquête a pu fournir des résultats au niveau des 14 régions pour la majorité des indicateurs. Il faut dire que l’enquête a été menée en collaboration avec le ministère de la Santé et de l’Action sociale, la Cellule de Lutte contre la malnutrition avec l’appui financier de l’Usaid, de l’Unfpa, de l’Unicef et de la Banque mondiale

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