« Ne touche pas à Bibi » (Par Malang Baldé)*

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Mon très cher, Aliou Kandé, la reconnaissance est la vertu des grands hommes. Seuls les lâches qui ignorent ce principe sacro-saint.

Comparaison n’est pas toujours raison, surtout s’il s’agit deux individus qui sont loin d’être comparables.

Mon très cher, l’heure est venue pour te remettre à ta place et corriger ton vocabulaire qui ressort de ton venin. C’est indécent et à la limite antirépublicain d’attaquer la dignité d’une personne. Ni tes moqueries railleuses, encore moins tes « blablateries » à perte de salive ne pourront atteindre l’honorabilité de notre Maire, Abdoulaye Bibi Baldé.

Fureur, d’autant plus inquiétant que surprenant, venant de la part d’un supposé intello. Certainement, tu as atteint la cime de la paranoïa. Tu constitues une véritable opération de salubrité publique au regard de ta déliquescence mentale. Sinon, comment comprendre tes diatribes infâmes qui piétinent les efforts d’un homme qui passe tout le clair de son temps à servir sa localité.

Alors, cela relève d’une absurdité incontestable de fermer les yeux et dire que le Maire n’a rien fait pour Kolda. Il faut être débile pour avancer de tels propos.

Monsieur le diviseur des Etudiants, le fauteur de trouble, tu te donnes de l’importance alors que ton poids politique équivaut à ton quotidien intellectuel, il est inexistant. Frère, tu as toujours milité pour la division, le « complotage », pour arriver à tes fins, mais rassure-toi, cette fois, tu es mal barré car la personne que tu veux salir, est un homme propre, respectueux et respectable. Ah oui !

Cela ne passera pas. On a compris ton jeu de mesquin.

Il faut que tu apprennes à prendre conscience que tes insanités ne sauraient ternir l’image de ce citoyen exemplaire, pour qui le travail et le social constituent son sacerdoce. Désoler, mais ta posture irrespectueuse et insolente n’honore point les jeunes Etudiants koldois.

Je n’arrive pas à croire que monsieur le diviseur des Etudiants soit assez stupide, ignorant, inconscient et borné à la limite pour raconter de telles vacheries en tant qu’un ancien dirigeant d’une structure aussi représentative, l’ASEPROK.

Rire oui ! Parce que c’est aberrant de croire à tes étourderies.

Cher président, lorsque tu te regardes dans le miroir, je n’ose pas imaginer ce que tu ressent, sans doute un sentiment de déception et d’irresponsabilité. En tout cas, j’en serais incapable moi-même, si j’avais commis une telle saleté. Ah oui ! Incapable de sortir et affronter mes pairs mais la honte ne tue pas pour certains, cela semble être votre situation.

Cher président, apprenti syndicaliste, je voulais dire le conditionnel des politiques, avant de se prononcer sur un cas, quel qu’il soit, et après revenir pour se verser dans la cacophonie, et aussi avant de vomir sur une réalité que tu ne maîtrise pas, prends donc la peine de bien t’informer, d’approfondir d’avantage tes recherches. Seulement là, tu pourras te permettre de donner ton avis.

Ce texte n’est qu’une mise à garde. Ne t’amuse pas à attaquer BIBI.

* Etudiant en master 2 en droit à l’Ugb

Responsable MEER Kolda, section Ugb

 

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