Jeudi 20 octobre, Paris a « condamné » les violences entre policiers et manifestants à N’Djamena, où des centaines de personnes se sont rassemblées contre le président Mohamed Idris Deby Itt, selon un communiqué du ministère des affaires étrangères Le pouvoir de la promesse.
« La France condamne les incidents violents survenus au Tchad ce matin, y compris l’utilisation d’armes meurtrières contre des manifestants », a souligné Quan d’Orsay, soulignant que Paris « n’avait joué aucun rôle dans ces incidents ».