Lorsqu’on est artiste, tout support peut devenir un moyen de s’exprimer. Mais comme dans chaque domaine, histoire de se perfectionner, certains se spécialisent sur une matière en particulier. C’est le cas d’Andoni Bastarrika, passé maître dans l’art de manier le sable.
Si la plupart d’entre nous pourrait s’estimer fier d’un pauvre petit château le temps d’un retour en enfance, le travail de cet artiste est tout simplement impressionnant. Le plus souvent, il traite d’animaux, à qui il donne vie en version sablonneuse et très réaliste. C’est d’ailleurs ce qu’Andoni préfère faire, et comme ça qu’il est devenu une référence dans le milieu.
Tout commence en 2010 lorsqu’il se rend à la plage avec ses deux filles. À l’époque, sa première sculpture sur sable est la Petite Sirène. D’un point de vue artistique, ce n’est pas une grande réussite mais cela lui permet de se rendre compte de ce qu’il appelle son cadeau : la fluidité de ses mains. « C’est comme si elles savaient ce qu’elles faisaient. J’ai fait en sorte de développer ce don et j’ai passé les 10 dernières années à faire des sculptures de sable » a confié Andoni Bastarrika. Comme quoi, on peut se découvrir une passion sans forcément s’y attendre.
Crédit : Andoni Bastarrika
Crédit : Andoni Bastarrika
Et lui d’ajouter sur son profil Facebook : « le sable me fascine car peu importe l’angle avec lequel tu le regardes, il a toujours quelque chose à t’apprendre. Au moment de créer une sculpture, un nombre incalculable de particules entre en action, se collant les unes aux autres grâce à l’humidité. Une fois l’œuvre terminé, elle retourne à la nature en se consumant plus ou moins lentement selon le vent et les marées.»
Ci-dessous, vous allez découvrir quelques-unes des plus belles réalisations de l’artiste autodidacte. Qu’elles représentent un chien, une vache, un requin, un éléphant, un crocodile, une tortue ou un dauphin, la majorité des œuvres sont un véritable hommage à la nature. Pour plus de photos et suivre l’actualité Andoni Bastarrika, rendez-vous sur compte Instagram.
Crédit : Andoni Bastarrika
Crédit : Andoni Bastarrika
Crédit : meliMachado
Crédit : meliMachado
Crédit : Andoni Bastarrika
Crédit : Andoni Bastarrika
Crédit : meliMachado
Crédit : Andoni Bastarrika
Crédit : Andoni Bastarrika
Crédit : Andoni Bastarrika
Crédit : Andoni Bastarrika
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