Ici à Janatoul Mahwa, ils semblent perdus. Debout en face de la résidence de Cheikh Béthio, d’autres adossés au mur, têtes baissées, ils sont nombreux, ces disciples à pleurer la mort de leur guide. Peur eux, célébrer le Magal sans le Cheikh, est une des épreuves les plus difficiles à supporter.