Que craint l’État au point de durcir les conditions de visite à l’ex-maire de Dakar ? S’il suffisait juste d’un permis délivré au tribunal, il faut dorénavant écrire une lettre au juge pour expliquer au détail près l’objet de la visite à Khalifa Sall.
Si certains voient leur demande satisfaite, d’autres sont purement et simplement priés d’aller voir ailleurs. Un changement de méthode vis à vis de l’ancien édile de la capitale que révèle, dans sa parution de ce mercredi, Les Échos.