Un chauffeur, âgé de 21 ans, a été arrêté par la police de Louga. Il est accusé d’avoir engrossé une collégienne de 16 ans. Le mis en cause qui a assumé avoir couché à deux reprises avec sa petite amie, a été déféré hier, au parquet de Louga. Il est accusé de détournement de mineure et viol suivi de grossesse sur une mineure de 16 ans. Elève en classe de Quatrième, D.F (16 ans), faussera compagnie à ses camardes à la prochaine rentrée scolaire. Elle traîne une grossesse de 29 semaines qui pourrait la contraindre å mettre une croix sur son cursus scolaire. La demoiselle a été enceintée par son petit-ami, chauffeur âgé de 21 ans.
La collégienne qui vivait avec sa grand-mère paternelle et la coépouse de sa maman filait le parfait amour et a commis l’erreur de goûter aux plaisirs du sexe sans protection. Contractant une grossesse, elle a, dans un premier temps, voulu cacher son état à sa tante qui l’avait interpellée sur son changement morphologique.
Cependant, quelques jours plus tard, le papa de la fille mineure, fraîchement revenu de l’étranger, a fait le même constat. Décidé à percer ce mystère, il a convoqué sa fille qui finit par cracher le morceau. «Je suis enceinte. C’est mon petit-ami, S. T. qui est l’auteur de ma grossesse», a-t-elle dit, entre deux sanglots. Le père de famille s’est rendu grossesse», dit, sanglots. Le père de famille s’est rendu séance tenante au commissariat central pour porter plainte. Les hommes du commissaire Lamarana Diallo ont réquisitionné la gynécologue de l’hôpital régional Amadou Sakhir Mbaye qui a attesté que la collégienne traîne une grossesse de 29 semaines.
Entendue à nouveau, la jeune fille est restée constante dans ses déclarations. Mis aux arrêts, le chauffeur a déclaré que sa copine a toujours été consentante. «Je ne lai jamais violée. Nous avons couché ensemble à deux reprises. Je regrette les faits, mais j’avoue que je l’aime bien…», assure-t-il.
Cet aveu n’a pas empêché son déferrement au parquet de Louga pour détournement de mineure et viol suivi de grossesse sur une mineure de 16 ans. l’Observateur