« Affaire G. Soro : Et Ouattara ratait le train de l’histoire… »

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Aujourd’hui encore, en Côte d’Ivoire, on sent pousser les graines d’un avenir peu enviable. Le mandat d’arrêt contre Soro devient ainsi les prémisses d’une incertitude politique.

L’histoire politique de ce pays frère ne permet plus des erreurs traversées dans le passé. Il faut aujourd’hui plus de sagesse de la part des autorités au pouvoir, en Côte d’ivoire.

Le président Alassane Ouattara a l’obligation de respecter les bonnes pratiques que lui impose la démocratie. Il n’a pas le droit d’oublier l’histoire. Il n’a pas le droit non plus d’oublier comment il est arrivé là se trouve aujourd’hui.

Pour la sauvegarde de l’équilibre politique nationale, pour le bien et la paix du pays et pour le triomphe de la démocratie, le président Ouattara doit faire preuve de maturité politique et laisser son jeune frère s’épanouir politiquement.

Certaines décisions même si elles sont explicables, les exécuter devient arbitraire. Nos dirigeants ratent, pour des détails, la marche de l’histoire.

Guillaume Soro ne mérite pas d’être expulsé de son pays, la Côte d’ivoire. En démocratie la concertation joue la carte de l’apaisement. Nos autorités ratent toujours le train de l’histoire.

Par Cheikh Ibrahima Diallo, S/G PJD

 

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