Abdallah Hamdok avait été arrêté en même temps que plusieurs responsables de la transition aux premières heures du coup d’État à Khartoum, lundi 25 octobre, et il était depuis retenu chez le général Al-Burhan, le chef de l’armée et du Conseil souverain de la transition qui a dissous, mardi 26 octobre, les autorités de transition.
On ne sait pas s’il est libre de ses mouvements à ce stade mais des mesures de sécurité ont été prises dans le périmètre de son domicile, selon le responsable militaire qui a fait cette annonce sous couvert d’anonymat auprès de l’AFP.