L’explosion au port de Beyrouth qui a entraîné plusieurs décès a suscité la trouille chez les habitants de la Cité Famara Ibrahima Sagna qui cohabitent avec des stocks de déchets chimiques de l’usine Senchim qui a arrêté ses activités. Selon L’As, ces populations, qui craignent une « Sonacos bis », demandent aux autorités, notamment celles en charge de l’environnement, de prendre des mesures d’urgence pour éviter l’irréparable.