Ceux qui martèlent qu’il y a un juteux business autour des eaux usées et de pluies, notamment en cette période d’inondations, n’ont pas du tout tort.
Lors du déclenchement du Plan Orsec samedi, l’État avait offert 26 électropompes à la Société africaine d’hydrocarbure et d’électricité (Sahe) pour évacuer les eaux stagnantes.
Mais, lors de la visite du ministre de l’Intérieur Antoine Diome à Keur Massar, il est constaté que Sahe avait mis en place seulement deux électropompes.
Pis, révèle Libération dans sa livraison de ce jeudi, l’une des électropompes ne fonctionnait même pas. Pourtant les 26 électropompes livrées à Sahe étaient payées.