La situation actuelle du Sénégal préoccupe les acteurs politiques mais aussi les organisations de la Société civile. Après le Grand Parti, le PDS entre autres, c’est maintenant au tour du Gradec de se prononcer sur le sujet. Le groupe de recherche et d’appui à la démocratie participative et à la bonne gouvernance (Gradec) qui « condamne les saccages, les actes de violences perpétrés contre des citoyens, des membres des forces de sécurité ainsi que les arrestations tout azimuts déplore l’utilisation de nervis armés dans des tâches de maintien de l’ordre et exige que des enquêtes soient menées pour identifier et sanctionner ces nervis ainsi que les auteurs des tueries. »
Pour apaiser la situation et sauvegarder la paix et la cohésion nationale, le Gradec appelle l’Etat ainsi que toutes les parties engagées dans ce conflit à prendre des mesures. Pour ce faire, il recommande la libération d’Ousmane Sonko et toutes les personnes arrêtées. Mais aussi, l’arrêt de toutes les poursuites ainsi que la violence perpétrée contre les citoyens d’où qu’elle vienne, la garantie des droits de toutes les parties concernées par ce conflit dans le respect de l’indépendance de la justice et de l’état de droit.
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