Ce mardi en Suisse, le Ministère public de la Confédération a requis, en appel, une peine de 28 mois de prison ferme à l’encontre du dirigeant qatari, rapporte Footmercato.
« Instigation à gestion déloyale aggravée ». C’est le chef d’accusation qui plane au-dessus de la tête de Nasser al-Khelaïfi, le président du Paris Saint-Germain, dans le cadre du fameux FIFAgate.
Quand à l’ancien dirigeant de la FIFA, Jérôme Valcke, le parquet suisse a demandé 35 mois de prison. Le jugement devrait être mis en délibéré et être prononcé dans les prochaines semaines comme l’indique l’Equipe.